Un cas ? Nada....



L'étre en son intimité est  comme  un auteL
Amour,  passion, sentiments servent l'AurA
Réceptacle qui  fait vibrer le  verbe  aimeR
Auquel je succombe quand je pense à LarA


Je t'ai connue dans le bonheur et la souffrance
J'aime tes certitudes et tes errances
Je ressentais comme une fragrance
Parfum des bois de ton enfance

Tu as connu de grands dangers
Tu as fait face sans différer
Un combattante du vrai bonheur
Être ton ami est un honneur

Ton prénom évoque pour moi
Un grand amour et ses émois
Que je connus adolescent
Annie la reine et moi l'enfant

Je frôle du doigt mon obsidienne
Pour toi ma pensée sera quotidienne
Nos chemins jamais ne se croiseront
Mais nos destins mêlés seront

Je m'apprête à arpenter le monde
Nouveau deal, nouvelles secondes
Mon être vibre comme une onde
En mon âme tu voles comme une aronde.

Un jour, peut-être, nos pas laisseront nos empreintes dans ce joli lit de feuilles.
Un jour, peut-être, nos regards se poseront sur cette douce lumière qui nous attend au bout.
Un jour, peut-être, tu prendras ma main, tu ralentiras ton pas puis tu l'arrêteras
Un jour, peut-être, nous serons face à face, prêts à l'enlacement.
J'attends ce jour avec bonheur et j'essaie de gommer le peut-être.
Tiens ma main et viens effacer ces peut-être qui n'ont rien à faire là.


Corail mon beau corail, tu es millions. Tu aimes la chaleur des mers tropicales, elle aussi. Et vous, la vie autour pleine de grâce et d'atours, tout comme moi vous aimeriez voir son corps effilé écrire en pleins et déliés un "je t'aime" tout en bulles scintillantes montant en joyeuse chanson au ciel, si proche, de l'univers liquide.




Je t'offre cette belle planète
Je n'ai rien mais j'ai le cœur en fête
Je t'imagine le regard attendri
Je t'imagine mon égérie
Même cette boule que nous croyons si grande
Ne peut contenir l'amour qui chante sur tes landes
Habillée d'un voile d'air qui est son apparat
Et je rêve en silence la douceur de tes bras


Je t'offre cette belle planète
Je n'ai rien mais j'ai le coeur en fête







A toi la gitana, belle, farouche, courageuse
Qui, quand je perds patience, devient orageuse
Ma Larissa, ma merveille, ma gitana
Te dire mon amour faire brille mon aura
Est mon dernier combat, mon ultime aveu
Mon sang nordique en est à faire un voeu
Que tu t'approches assez en danse et en chanson
Me prennes la main et mette en joie ma déraison.


Tu es comme une écharpe de soie que le vent chaud chahute

Créant sans cesse des formes montrant de la Vie sa lutte


J'aime tes courbes improbables impermanentes



Entre-chats, glissés farandoles tournoyantes




Je l'ai croisée dans les parages
Elle sentait bon l'air du large
D'amour j'eux tous les frissons
Pour un Jacques Cartier en jupons

C'était pas raisonnable
C'était comme se mettre à table
Sans la moindre raison
Pas de salade à l'horizon

Ah j'chanterais bien une chanson
Mais faudrait qu'je soit baryton
Pour chanter des oraisons
Faute d'avoir pu avoir raison

J'fibrille comme un damoiseau
Mais la nuit y a pas d'oiseau
Pour siffler un vieux canon
d'alcool ou d'accordéon

Je l'ai croisée dans mes nuages
Pas vu que ça dirait l'orage
Tonnerre qui fait trembler ma page
Ma main, mon coeur j'suis dans l'cirage
Adieu belle âme de belle couleur
J'ai tout cassé sans une fleur
Lara mon si beau déjà souvenir
J'ai plus qu'à bien me tenir

Poète maudit, Saule alangui
J'irai cueillir au chêne le gui
Pour que l'an neuf soit pas pour moi
Un enfer sans sens et sans émoi.

Dieu ! si jamais tu existes 
Saches que je m'escrime dans ma xyste
Et que Socrate, Eschylle, Platon
Font un banquet d'ma déraison.

Suite et fin d'une passion 
Qui finalement n'a pas de nom



Je ne sais plus pourquoi j'existe
Si ce n'est que j'existe pour toi
J'errais sans but  dans ma tête d'artiste
Belle Ukrainienne tu me mets en émoi

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